Tasmania, land of inspiration ...

Publié le par Jean-Philippe

      Le slogan ne vient pas de moi mais des guides touristiques ! Avec une semaine de retard due à un petit problème de carte mémoire, me revoilà enfin pour vous raconter les 3 jours que j'ai passé dans la moitié sud de la Tasmanie. De Hobart à Queenstown et Strahan en passant par Strathgordon puis finalement la péninsule de Port Arthur. Admirez la préparation du périple : route initiale surlignée, étapes encadrées, et commentées sur le petit carnet, couverture du réseau téléphone reportée sur la carte... de la préparation de grande classe !

Samedi 27 juin 2009
J'ai pris l'avion samedi matin à l'aube pour Hobart. Le ciel était assez dégagé, ce qui m'a permis d'assister à un joli lever de soleil sur la capitale de la Victoria. Après son décollage, l'avion a survolé la baie, j'avais choisi exprès un hublot sur la rangé gauche de l'appareil !


Le matin, à l'aube, lorsque le temps est calme, des montgolfières survolent les quartiers de l'est de la ville, on ne les aperçoit pas sur les photos mais elles y étaient ! Malheureusement c'était au décollage qu'on pouvait les apercevoir et je me suis fait remonté les bretelles parce que j'avais sorti mon appareil pour cette phase de vol... et que c'est pas bien.



On a ensuite survolé la péninsule de Mornington (celle que j'avais descendu à vélo depuis Frankston jusqu'à la pointe de Nethean), découvrant sur la gauche de l'appareil French Island et Phillip Island.


Au loin se dessinèrent alors les montagnes du Wilson's Promontory ainsi que les immenses dunes de Sandy Point où je m'étais rendu il y a quelque semaines de celà !

Tout ça pour vous dire que c'était un peu le bouquet final de toutes ces petites aventures sur la côte sud est de Melbourne ! J'ai mitraillé mais pour éviter que certains ne ralent parce que c'est trop long, je vous ferai plutôt une scéance de projection de toutes ces photographies aériennes à mon retour !
Après une grosse heure de vol, nous sommes descendu à travers les nuages pour attérir sur Hobart. J'ai alors récupéré la voiture chez Hertz Hobart qui défie toute concurrence (30 euros la journée).


Explore the possibilities !!


Je suis alors monté sur les hauteurs de la ville pour vous ramener cette petite photo d'Hobart et de l'entrée de son port (à droite le Sud)



Le temps était assez couvert et les sommets étaient dans la brume, donc j'ai décidé de reporter l'ascension du Mont Wellington à plus tard ! (pour éviter un Boroka lookout bis (n'est-ce pas Dorian ?) )
J'ai alors tracé la route plein ouest en direction du lac Gordon, première étape de ce périple de 3 jours.


C'est à partir de cet instant que j'ai commencé à comprendre que l'île était bien plus grande que je ne l'avais imaginé et que 110 kilomètres en temps normal c'est long, mais 110 kilomètres qui s'enfoncent dans la montagne sur une route qui serpente et qui se rétrécit au fil des virages, ça tape dans le 2H30 voire 3 heures facile ! Bien sûr, on pourrait réduire ce temps mais ma voiture n'étant pas amphibie, j'ai évité de jouer les Sébastien Loeb !



Les paysages commencent à dévoiler la nature de cette île magnifique.




Qui n'a jamais rêvé d'avoir ce type de petite maison nichée à la lisière de la forêt...


On se rapproche alors des deux grands lacs et le paysage se révèle de plus en plus montagneux et mystérieux...




Au détour d'un virage, on aperçoit alors le lac du Sud et ses centaines de petits îlots...


Comme vous pouvez le voir le paysage était magnifique et très apaisant, à vrai dire, j'étais le seul sur la route, et j'ai du croiser une voiture en sens inverse...


... pour la bonne et simple raison que la route se termine sur un barage puis l'immensité de la forêt et des montagnes qui constituent cette partie Sud Ouest de l'île, la plus sauvage de toute l'île et un des endroits les plus sauvages de la Terre.



Il paraitrait qu'au sud de la Tasmanie se renferment des endroits qui n'ont encore jamais été découverts par l'homme ! Une fois arrivé au bout, je n'ai pas eu d'autre solution que de reprendre la route en sens inverse, cette fois je me suis arreté dans une petite ville avant de bifurquer vers le nord/nord ouest en direction de Queenstown.

Je trouvais ces petits villages si apaisants, si "hors du temps" que je vous ai ramené ces quelques clichés pour vous faire gouter à cette ambiance qui ferait rêver n'importe quel écrivain en quête d'un endroit pour s'adonner à son art...


Il fesait assez froid, et chaque foyer avait allumé un feu. Aucun souffle d'air ne venait déranger cette quiétude si bien que la fumée s'élevait gentillement et doucement de chacune des petites cheminées.


J'ai ensuite pris la route pour le nord ouest en direction de Queenstown ...


... non sans faire de nombreuses escales sur la route, pour immortaliser ce côté sauvage et cette immensité qui me surprenait vraiment, vis à vis de ce qu'on peut imaginer de cette "petite" île au sud de l'Australie.




Ci dessous l'intersection qui permet de rattraper la route qui part de Hobart pour Queenstown (la photo doit être à l'envers parce qu'il y a un truc qui m'a échappé sinon ...)


La nuit est alors tombée, avec la pluie et la brume, si bien que je me suis retrouvé dans un enfer météo qui m'a conduit à m'arrêter au milieu de nulle part sur le bords de la route pour me reposer. Je vous assure que les distances sont énormes, peut-être pas en kilomètres, mais en heures de conduites, c'est affolant. 150 kilomètres séparent Hobart de Queenstown, mais une barrière naturelle de montagnes et de forêts denses séparent ces deux villes. Si bien que j'en suis réellement venu à penser que l'île n'aimait pas les touristes et qu'elle faisait tout pour leur faire comprendre !
Imaginez vous, épuisés parce que vous venez de manger 100 kilomètres de routes de montagne, sous une pluie battante, une brume à couper au couteau, un froid proche du zéro degré et une nuit plus noire que n'importe quelle nuit que vous avez pu connaître... D'un ce n'est pas très rassurant, et de deux, votre esprit vous joue forcément des tours ! L'île voulait m'empêcher de continuer, m'empêcher de voir la côte ouest, voilà ce que je pensais au moment où je me suis arrêté sur le bas côté !


Après un petit somme d'une heure, je me suis réveillé au milieu de nulle part, dans le noir (imaginez ...), j'ai alors ouvert la porte et je me suis retenu de crier "qu'est-ce que tu me veux ? hein ? tu veux me décourager de poursuivre la route c'est ça ?" Je suis remonté en voiture, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai ensuite gagné Queenstown, avec un peu plus d'aisance une fois que j'ai eu quitté cette inquiétante barrière naturelle.


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Dimanche 28 juin 2009



A l'aube, j'ai alors pris la route de Strahan, petite ville portuaire de la côte Ouest.


Le lever de soleil sur les contreforts de la "barrière de tous les dangers" de la veille était splendide, une épaisse brume s'étalait telle une marée montante qui entoure les chateaux de sable...
(quelle jolie comparaison...)








Je suis alors arrivé à Strahan où j'ai pu découvrir qu'à 8H du matin, j'avais raté à 5 minutes près la seule et unique croisière de la journée... Ben dis donc, c'est pas des feignants à Strahan !


J'ai alors rêvé devant ce petite hydravion avant de m'étouffer en voyant le prix d'un vol de 20 minutes au dessus de la côte Ouest : 250 dollars !!! Gloups ! Je vais y aller en voiture plutôt...


J'ai alors pris la route plein Ouest en direction de la mer...




... et j'ai atteint Ocean Beach où un calme absolu reignait...






Une petite route poussiéreuse m'a alors conduite à la pointe sud d'Ocean beach, admirez comme la route s'étend à l'infini, se perdant dans cet horizon montagneux...



Au détour d'un virage je suis tombé sur la plus belle aire de picnic du monde.


Alors du coup, j'y ai déjeuné !




Vous me connaissez, tout comme la veille devant ces lacs si calme, je n'ai pas pu m'empêcher de tenter le records du monde de ricochés... mais après je m'en voulais d'avoir troublé l'eau car je devais attendre 10 minutes que le calme s'installe avant de pouvoir reprendre des photos ...

J'ai alors remonté la petite plage qui conduit à la pointe, sans trop savoir si j'allais retrouver ma voiture au retour, il y avait en effet plein de panneaux qui disaient "attention, interdit, faut être enregistrés etc etc..." bref en gros "barres toi, qui que tu sois, t'es pas chez toi !"
Mais j'ai insisté, je ne voulais pas en avoir autant bavé en traversant toutes ces montagnes pour rien !




Le paysage à la pointe...




Aux alentours de 13H, et voulant éviter de refaire la route de nuit, sous la pluie et la brume, j'ai repris la route plein Est en direction d'Hobart. J'avais initialement prévu de faire un tour complet de l'ïle, mais vous voyez déjà que jusque là, j'ai très peu quitté la voiture, celà fait 1 jour et demi que j'y étais et je n'avais fait qu'un quart de la route qui fait le tour de l'île... il n'était pas question que je passe mes trois jours à remplir le réservoir et à compter les kilomètres !



La traversée de la barrière naturelle fut beaucoup plus agréable, comme vous pouvez l'imaginer, de jour. La route était toujours aussi déserte, mais sèche cette fois ! Je suis repassé par Queenstown. J'ai alors pu réaliser que ce que j'avais lu sur l'histoire minière de cette ville n'était pas faux ! La couleur des monts est due à toute l'exploitation qui en a été faite et qui continue à en être faite, une gigantesque mine à ciel ouvert !




Après avoir quitté les montagnes, on découvre alors au grand jour le paysage que j'avais qualifié la veille, dans le noir, d' "au milieu de nulle part". Le bush s'étend à perte de vue pour donner des paysages somptueux et au combien apaisants (de jour !)








Je suis alors arrivé sur Hobart et j'y ai retrouvé un petit motel avec couverture chauffantes... vraiment, il faudrait que la France s'y mette parce que c'est le rêve ! Je suis allé manger en ville et j'ai pris quelques photos de celle-ci et de son petit port de nuit, malheureusement, à l'heure qu'il est ces photos font parti de celles que je n'ai toujours pas réussi à récupérer (cf aventure du lundi matin). Le centre ville ressemble énormément, et très étrangement à celui de Brest, des rues montantes, grises et tristes. Si quelqu'un me trouve une explication à ça, je lui tire mon chapeau !

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Lundi 29 juin 2009
 
Le lendemain, j'ai gravi la route qui conduit au sommet du Mont Wellington et c'est à cet endroit que mon appareil photo a disjoncté. J'ai deux explications à celà, la première c'est qu'il faisait tellement froid (un vent très fort et glacial, je n'arrivais même plus à respirer en revenant à la voiture c'est pour dire !) qu'il s'est bloqué alors qu'il était en train d'enregistrer une photo et a corrompu toutes les données quand j'ai enlevé la batterie pour le ressuciter ! L'autre pourrait provenir des ondes émises au sommet, en effet, la télécommande de la voiture ne répondait même plus, même collée à la vitre... un vrai micro onde à ciel ouvert avec toutes les antennes qu'il y avait là haut !!... bref, mon ordinateur  a déjà tourné une bonne partie de la semaine pour récupérer les 3/4 des photos que vous voyez dans cet article et qui étaient inexistantes jusqu'à lundi soir dernier ! Il va  encore tourner toute cette nuit pour tenter de récupérer les dernières photos donc je les mettrai dans un prochain article !

Après cette ascension magnifique, si si je vous le promet, vous verrez les photos ! je suis alors redescendu sur Hobart pour prendre la route de la péninsule de Port Arthur.


J'ai fait plusieurs escales sur la route, notamment à la baie des pirates (ces chacals avaient pris l'habitude d'y habriter leurs navires...)



La côte se dégage et se déchire alors vers le Sud.



Plusieurs plages renferment des jolies vagues qui réjouissent les surfeurs.



Non non vous ne rêvez pas ! faut faire attention aux pinguins lorsqu'on passe en voiture ! (j'en ai pas vu mais je suppose qu'ils s'y promènent au crépuscule comme sur Phillip Island !)

J'arrive alors à un "blow hole" où à marée haute l'eau s'engoufre provoquant un geyser de plusieurs mètres de haut ! Mais c'était marée montante seulement, donc je n'ai eu le droit  qu'au petit frère du spectacle !


Par contre, une fois au bords de la falaise, j'ai eu le droit au spectacle de la mer venant s'écraser sur la roche.



J'ai alors poursuivi cette petite randonnée pour découvrir cette gigantesque arche naturelle.


Après une petite heure de route à travers la campagne verdoyante du sud de la Tasmanie...


... je suis alors arrivé à Port Arthur qui abrite un ancien pénitencier "à but éducatif" des années 1800.


En gros, on y amenait tous les gens qui se conduisaient très mal dans les colonies, voleurs et meurtriers et on espérant les remettre sur le droit chemin à l'aide des méthodes "pédagogiques" de l'époque, à savoir l'humiliation publique, le travail forcé, la torture morale et physique... il ne fesait pas bon de jouer les fangios à l'époque...



En ce temps, à l'âge de 13 ans, un enfant était considéré comme adulte et subissait le même chatiment que les adultes, pas cool...


Les prisonniers y vivaient et élevaient leur famille (j'en conclu qu'il devait donc y avoir des femmes prisionnières...). Les officiers y élevaient également leur famille, et tout celà faisait de Port Arthur une vrai petite ville.
Les bagarres et autres dérapages y étaient fréquents, et comme je vous l'ai dit précedemment, les enfants étaient considérés très rapidement comme des adultes...
Pour vous dire l'absurdité de la chose, on y raconte qu'un enfant de 11 ans a été exilé seul sur une petite île durant 5 jours parce qu'il avait volé un jouet à un enfant d'officier...



Bref, tout ça a conduit à beaucoup d'histoires et de fins tragiques, si bien que ce lieu est également réputé pour être hanté, notamment la salle "de correction" où on pouvait y enfermer un homme jusqu'à 6 mois dans une pièce de 2 m² et qui n'avait le droit de voir la lumière du jour qu'après 3 mois de bonne conduite... 10 minutes par jour... Mais comment est-ce qu'on peut bien ou mal se conduire dans un placard de 2 m² ??...



Bref, ce lieu m'a un peu troublé... j'ai alors profité du billet d'entrée pour réaliser une petite croisière aux alentours. Le bateau s'avance doucement à travers les îles, passe à côté de l'île des enfants (où on y fesait travailler les enfants prisonniers...) et de l'île des morts...


brrr, si vous payez un petit plus, le bateau vous y dépose avec un guide. Et il annonce une fois que vous y avez posé le pied qu'il n'est pas sûr de venir vous rechercher ... il ne manquait plus que le "mouah ah ah ah" digne de Dracula et j'applaudissais la performance !

Pour ma part, je n'ai pas risqué de devoir tenir compagnie au fantôme de je ne sais quel meurtrier, et je suis resté à bords pour la suite de la croisière...




C'est alors que la vue s'est dégagée sur l'horizon et que le commandant de bords nous a fait prendre conscience que loin, bien loin à l'horizon... c'était l'Antarctique ! On ne le voyait pas bien entendu, mais ça reste très impresionnant de se l'imaginer !


Admirez la manière dont la roche s'errode à ces latitudes ... un mélange de la violence et de l'acidité de l'océan je suppose ... (amis géologues à vos plumes !)



J'ai alors quitté cette petite ville historique pour me rendre au point le plus au sud de la péninsule duquel partait une randonnée, mais le sentier avait apparemment été laissé à l'abandon depuis des années... je n'ai pas risqué de m'y aventurer.



Encore une fois, l'errosion se fait de manière très particulière sur ce bout de terre...



J'ai alors repris la route en direction d'Hobart en vous ramenant ces derniers clichés de la campagne Tasmanienne, de ses nombreuses petites îles, villages portuaires et lacs.





Roadsign "attention au diable de Tasmanie" ! Cette espèce est en voie de disparition si bien que vous avez très peu de chance d'en croiser sur le bords de la route, vivant tout au moins. C'est le gros problème de la faune d'Australie et de Tasmanie, la route. En rentrant sur Hobart j'ai croisé une réserve où j'aurai pu y voir des petits diables de Tasmanie, mais l'entrée était assez cher et à vrai dire je préférai voir le coucher de soleil sur l'horizon des terres de Tasmanie plutôt que sur un enclos...







Et le clou du spectacle sur le pont qui me ramène à l'aéroport d'Hobart...



Je retiendrai de la Tasmanie qu'elle renferme des paysages parmis les plus beaux que ceux j'ai pu voir depuis mon arrivée en Australie, qu'elle marie à la perfection montagnes, lacs, forêts et paysages côtiers pour peindre un endroit de rêve où l'appareil photo chauffe très vite ! (dans mon cas c'est plutôt le froid qui lui a été fatal !)
Je retiendrai également le côté terriblement sauvage de cet endroit de la terre, où il ne fait pas bon de se lancer à l'aventure sans y être préparé. Un endroit où l'on perd toute notion de distance et où chaque kilomètre s'allonge à l'infini...

Publié dans Les escapades

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T
Non mais oui, j'exagère un petit peu, mais c'est vrai que c'est plus facile de lire des articles un peu plus court. Après, c'est vraiment pas la mort non plus.<br /> <br /> Mais si je dis ça, c'est aussi que ça te permet de décomposer le travail et de pas tout faire d'un coup. Je sais que c'est plus facile de se prendre une demi-heure par-ci, par-là que de se poser pendant deux heures... Enfin bref, de toute façon, c'est ton espace, c'est toi qui le gère comme tu l'entends...<br /> <br /> Par contre pour la fin, je suis pas d'accord, c'est plutôt toi qui impose ce que font les gens... Quand j'étais en Oz, j'écrivais souvent, résultat, la fréquentation était continue. Ici, quand j'ai dit que j'écrirais que le mardi, les gens venaient quasi que ce jour-là et quand j'ai recommencé à écrire n'importe quand, c'est devenu moins régulier!<br /> <br /> Cheers!
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J
A vrai dire j'ai pensé décomposé l'article en 3 parties ... une fois que j'ai eu écrit les deux premiers jours... pour tout t'avouer Thaddée, j'avais pas le courage de repasser toute ma nuit à sélectionner les photos une par une dans le nouvel article pour le jour 2 comme je dois le faire pour l'article complet. Mais promis, j'en tiendrai compte pour la prochaine fois, je l'avais fait pour les 3 jours à Sydney, Blue Mountains et Royal National Park... là j'y ai pensé aussi mais trop tard... et puis comme la plupart des gens ne viennent qu'une fois par semaine sur ce blog (le samedi ou le dimanche vu le graphique de consultation de mon blog), autant que je mette tout d'un coup sinon ils vont prendre du retard et ça perdra tout intérêt ! On peut lancer un appel à témoin si tu veux pour savoir ce que les gens préfèreraient ! Mais j'ai fait une étude de marcher avant de me lancer dans ces romans hebdomadaires et il s'avère que la plupart des lecteurs ne consultent ce blog qu'une fois par semaine !
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M
Alors je prends la defense de jean-phi et critique tutu et thaddée pour leur mauvaise ambiance......Merci encore pour toutes ces jolies photos et merci de nous faire découvrir l'autre bout de la terre<br /> A plus
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R
Wow... <br /> <br /> Pour Port Arthur, ca m'etonne pas trop vu la population de voleurs et autres que les anglais ont ramene de force pour coloniser l'Australie. Et pour repondre a ta question : comment peut on mal se conduire dans 2m carre, je te conseille de lire ou de regarder le film Papillon (avec Steve McQueen), qui se passe au bagne de Cayenne.
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T
Bah, je ne peux que donner raison à Tutu. Pourquoi tu décomposes pas les articles en plusieurs parties? T'en postes une tous les deux-trois jours. C'est moins long et puis c'est sympa de trouver des trucs ici plus souvent! Je vote pour cette solution.<br /> <br /> Par contre, je comprends ce que tu veux dire quand j'ai lu le début de l'article que t'étais parti pour un week-end en Tasmanie, je me suis demandé ce que tu avais pu faire là-bas. Quand j'ai vu, que t'avais parcouru l'île de long en large, j'ai admiré le courage. Tous les gens que j'avais croisé m'avait dit qu'il fallait au moins une semaine pour en faire le tour...<br /> <br /> Par contre, c'est bien à la hauteur de ce qu'on m'avait dit aussi...
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